Quel bonheur, quelle paix, de vivre chaque jour
La grâce et le pardon, issus de son amour !
En Christ j’ai tout reçu, mon cœur est dans la joie
Car je ne suis plus seul, Jésus marche avec moi.

Je ne crains plus demain, il est à mes côtés
Il saura me garder, aussi me protéger
Avec moi sa Parole, et toutes ses promesses
Pour contrer l’ennemi, quand celui-ci m’oppresse.

Car je suis équipé, de foi et de prières
Et me mets à genoux, dans le secret du Père
Dans le nom de Jésus, de tout cœur je le prie
Sachant qu’il répondra, c’est lui qui me l’a dit.

L’Esprit-Saint me conduit, divin Consolateur
Afin que je demeure, dans les voies du Seigneur
Quand je ne sais que dire, face à l’opposition
Il me revêt alors, de sa divine onction.

Toi qui es esseulé, ne sachant où aller
Ô, fais donc comme moi, il te faut l’appeler !
Et tu vivras aussi, la paix et le bonheur
Car tel est son désir, de transformer ton cœur.

Lecture : Ecclésiaste 4 v 10 :« Malheur à celui qui est seul et qui tombe, sans avoir un second pour le relever ! »

La solitude augmente le risque de trouble mental courant, comme la dépression, l’anxiété ou l’épuisement professionnel. Elle ne touche pas uniquement les personnes vivant seules, mais également certaines personnes vivant au sein d’une même famille. La solitude de l’âme, face aux questionnements de la vie est personnelle et ne peut trouver son apaisement que par une rencontre avec Dieu.
C’est le témoignage de cet homme que Jésus trouva seul à la piscine de Bethesda : « Jésus, l’ayant vu couché, et sachant qu’il était déjà malade depuis longtemps, lui dit : Veux-tu être guéri ? Le malade lui répondit : Seigneur, je n’ai personne… » (Jean 5 v 6-7). Il avait tellement souffert de la solitude, qu’il finit par s’y soumettre, et ne plus attendre de l’aide de personne. Mais il vécu une telle expérience avec le Christ, qu’il témoigna de sa délivrance ! Enfin quelqu’un s’était penché sur sa vie, pour la transformer. Désormais il ne serait plus seul, il avait Jésus avec lui !
Je me souviens de cette femme veuve, qui sortant de l’église fredonnait cet ancien cantique : « Non jamais tout seul, non jamais tout seul, Jésus mon Sauveur me garde, je ne suis jamais tout seul » (Cantique 387 Les ailes de la foi). Avec Dieu, nous ne sommes plus seuls, il est à nos côtés, pour nous suivre sur le chemin de la vie.

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Yves Prigent

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