Les bienfaits de sa maison !

Oui ! Je suis très heureux de dépendre de lui !
Sa Parole me promet, que je serai béni
Moi qui fut opprimé, mais sauvé par sa main
Repoussant les méchants, qui s’agitaient en vain !

Je t’invoque ! Ô ! Seigneur, attendant tes promesses
Et je compte sur toi, refoulant mes tristesses !
L’âme calme et tranquille, comme un enfant sevré
Restant près de sa mère, car il est rassuré.

Avec mes frères je dis : « Allons à sa demeure ! »
Pour élever son nom, en vrais adorateurs
Et Dieu nous couvrira, de son huile précieuse
C’est sa bénédiction, pour nous si généreuse !

Bénissez l’Éternel ! Vous tous ses serviteurs !
Au sein de sa maison, faites monter vos clameurs
Levez vos mains vers lui, adorez l’Éternel
Il est le créateur, de la terre et du ciel.

Lecture : Psaume 132/7 : Allons à sa demeure, Prosternons-nous devant son marchepied !…

Nous retrouvons notre pèlerin au Psaume 128, où il réalise la bénédiction de Dieu sur son foyer, son épouse, ses enfants et également sur la jouissance de son travail. Notre propre investissement dans les valeurs spirituelles nous donnera cette prolongation de la bénédiction sur l’ensemble de la famille. Soyons des exemples dans la consécration, et nous constaterons que d’autres en sont bénéficiaires, à commencer par nos proches.

Le Psaume 129, rappelle au pèlerin l’oppression de l’ennemi, mais surtout cette réalité : « Ils m’ont assez opprimé dès ma jeunesse, Mais ils ne m’ont pas vaincu » (v 2). Ce psaume encourage le pèlerin que je suis à ne jamais douter de la présence et de l’intervention divines, alors que l’adversité cherche à me décourager et me déstabiliser.

Le Psaume 130, poursuit sur cette note de confiance et d’assurance. Le croyant qui se confie dans le Seigneur doit s’attendre à l’action divine : « J’espère en l’Éternel, mon âme espère, Et j’attends sa promesse » (v 5). Et le message s’étend à tout un peuple : « Israël, mets ton espoir en l’Éternel ! »

Au Psaume 131, c’est David qui parle de lui et qui nous montre une voie par excellence : se blottir près de son Dieu, et se laisser ainsi porter et protéger : « Loin de là, j’ai l’âme calme et tranquille, Comme un enfant sevré qui est auprès de sa mère ; J’ai l’âme comme un enfant sevré. » (v 2). Et il lance cet appel au peuple de Dieu : « Israël, mets ton espoir en l’Éternel, dès maintenant et à jamais. »

Le Psaume 132 met l’accent sur la présence de Dieu, que nous devons rechercher dans sa demeure, et qui nous assure sur sa bénédiction.

Le Psaume 133 rappelle l’importance de la communion fraternelle. Elle est vitale, indispensable, si nous voulons que le Saint-Esprit descende comme une rosée vivifiante : « C’est comme la rosée de l’Hermon, qui descend sur les montagnes de Sion ; Car c’est là que l’Éternel envoie la bénédiction, La vie, pour l’éternité. » (v 3).

Et le Psaume 134 clôture cette suite de psaumes « des montées » ! C’est la bénédiction des serviteurs de Dieu qui chantent et glorifient le Seigneur de toute la terre. Une invitation pour chacun de nous, nous appelant à bénir notre Dieu dans le nom de Jésus-Christ.

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